Aug 15, 2009 18:54
14 yrs ago
Italian term

secondo coscienza

Italian to French Art/Literary History histoire
Non si può tenere Stati ***secondo coscienza***; perché chi considera la origine loro; tutti sono violenti e da questa regola non eccettuo lo imperatore...

Ragazzi/e, je sèche! Et comment enchaîner avec "perché chi considera..."???
Grazie!

Discussion

Angie Garbarino Aug 15, 2009:
Ok Merci bien!
Madeleine Rossi (asker) Aug 15, 2009:
Ah sì, scusa... allora certo è "volgare"! Ma il libro non lo devo tradurre in francese... "medievale"! ;-)
Angie Garbarino Aug 15, 2009:
Esattamente L'italiano del 16° secolo si chiama "volgare" non perché è volgare ma perché a quel tempo così si chiamava, intendevo appunto se la traduzione deve avere lo stesso registro dell' italiano del 16° secolo che era detto Volgare.
Madeleine Rossi (asker) Aug 15, 2009:
C'est de l'italien du XVIème siècle et donc ça n'a rien de "volgare". Auteur: Francesco Guicciardini... Ouvrage: essai sur l'histoire de la peine de mort en Italie.
Angie Garbarino Aug 15, 2009:
Una domanda Si tratta di "volgare", non di italiano vero e proprio, la traduzione deve avere lo stesso registro?

Proposed translations

18 hrs
Italian term (edited): non si può tenere stati secondo coscienza

il n'est aucun pouvoir qui soit légitime

Tu trouves la traduction en français de cette citation de F. Guicciardini et la tournure est modifiée:

http://www.ehess.fr/centres/grihl/CR_Grihl/CRCavail019.htm
"Il n'en met pas moins en évidence dans ses analyses la violence qui préside à la fondation et au maintien des Etats : “Tous les Etats, fait-il dire à son personnage Bernardo del Nero, à bien considérer leur origine, sont violents, et, hormis les républiques, dans leur patrie et non au-delà, il n'est aucun pouvoir qui soit légitime et encore moins celui de l'empereur qui a tant d'autorité qu'il dit le droit aux autres ; et je n'excepte pas de cette règle les prêtres dont la violence est double, parce que, pour nous maintenir en soumission, ils usent des armes spirituelles et temporelles”"

et ici (recueil de textes sur société et pouvoir), même tournure
http://www.springerlink.com/content/h53w3qht87317n12/fulltex...
Comme Machiavel, Guicciardini veut tirer des faits eux-mêmes et non de spéculations morales le meilleur type de gouvernement. Il s’appuie pour cela sur les spécificités de la cité qu’il considère :
«Le philosophe, et quiconque a du jugement, si on lui demande en termes généraux, répondra que le meilleur gouvernement que l’on puisse mettre dans une cité est celui qui lui est naturel» (p.126). Cela condamne la monarchie à Florence, où « la liberté est naturelle». Régime naturel et non légitime car, comme Machiavel, Guicciardini est persuadé de l’inanité d’une pensée politique fondée sur le concept de légitimité: «Tous les États, à bien considérer leur origine, sont violents, et hormis les républiques, dans leur patrie et non au-delà, il n’est aucun pouvoir qui soit légitime et encore moins celui de l’empereur qui a tant d’autorité qu’il dit le droit aux autres; et je n’excepte pas de cette règle les prêtres dont la violence est double parce que, pour nous maintenir dans la soumission, ils usent des armes spirituelles et temporelles» (p.297). Ce naturalisme politique conduit Guicciardini à de sombres considérations sur la dégénérescence inéluctable des institutions civiques, qu’il doute de pouvoir enrayer à Florence.
Note from asker:
Fantastique! Merci... j'ai décidé de continuer à traduire avant de rechercher ce genre de sources... (j'en ai un tas, y compris les Statuts de Florence de 1540!).
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